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PRÉCIS
COUR D’APPEL
DE RIOM
( 2 ' Cham bre).
' pour
M
Jacques M AR IE, appelant ;
A lla r y.
CONTRE
M * PONS-POUZOI-
1° Clément GARDE, avoue au Puy, et Philibert
CHAUCHAT dont il se dit cessionnaire ;
M* D e b o r d .
Et 2° les époux Barthélémy CHAUCHAT, et
Henri SURREL, se disant leur cessionnaire
pour partie tous intimés.
O
S K &
t C
a a
L e sieur Marie a été condam né à faire rapport à la succession
de son b e a u - p è r e , Henri C h a u c h a t, d ’une som m e de
1 1 ooo fr. ,
q u ’on dit lui avoir été payée sur la dot d ’A ugustine C h a u ch a t sa
fem m e. Cette décision se base sur les énonciations contenues dans
i
une p réten du e quittance finale p roduite par le sieur G ard e, et q u i ,
d ’après le sieur M a rie , constitué un abus de blanc-seing. L e sieu r
Marie ne nie pas q u e différentes sommes aient été reçues par lui et
q u ’il en doive le rapport ; mais il dem ande q u e les q uitta n ces q u ’il
a do n nées et dont les ép oux B arth élém y C h a u c h a t sont en posses
s i o n , soient p r o d u ite s , et q u ’un com pte soit fait p our fixer le chiffre
d u rapport.
L ’exposé sommaire des faits prouvera q u e le sieur Marie n'a pu
don n er une quittance définitive et q u e le b illet de 4 0 0 0 f r Pr o
duit par le sieur Garde , n ’a é t é transformé en quittance finale q u e
dans un b u t d e spoliation.
�FAITS.
Henri C hauchat a laissé trois e n rants : À ugustine, épouse Marie ,
P h ilib ert et Joséphine , mariée à B arth élém y Chauchat.
P a r contrat de mariage du 18 juin 1827 , il a constitué à August i n e , épouse M a r i e , u ne dot de i 5 , o o o fr. L ’acte porte quittance
de 2,000 f r . , les i 3 ,o o o f r . restés dus furent stipulés payables en
treize termes é g a u x .e t annuels de 1,000 fr. , du a 5 juin 1828 au
25 juin 1840, sans intérêt q u ’à d é fa u t'd e paiem ent.
Henri C hau ch at ne remplit pas avec exactitude son engagement.
11 paya q u e lq u e s à-com ptes sur Tes termes échus, dans les première?
années qui suivirent le mariage. Bientôt il;fa llu tle poursuivre.
L e 25 février i 8 3 4 , les ép oux Marie lui firent com m andem ent
d e p a ye r les termes éch us eh capital e t a ccessfflresl'H enri'C hauchat
fit opposition le 27 février, mais il en fut dé b o u té par jugem en t du
12 août suivant, qui ordonna la continuation des poursuites avec
exécution provisoire, e n -lu i accordant toutefois un délai de trois
mois pour sa libération. C e jugem en t fut signifié le 27 novem bre;
q u e lq u e s à-com ptes furent payés et l’on suspendit les poursuites.
C epen d a n t H enri Chauchat
riche propriétaire foncier, s ’était
laissé .entraîner à de fausses spéculations sur des reventes d ’im m eub l e s . I I avait des dettes con sidérab les, lorsq u ’à la d^te d e s ( i 4 et
i 5 août 1 8 ^ 7 , tous les biens qu'il; possédait à A lle y r a s , Poutès et
àSt-Jean-Lacham p, furent saisis.
,
.,
■
Plusieurs ; termes d ç J a dot s’ étaient a rré. ra
gé s; le sieur Marie dut
i 10
re p ren dre les poursuites en son nom et celui de ses deujç;cnfanls
m in e u r s , sa fem m e étant d é c é d é e . — L e 29 novem bre « 837, il fit
co m m andem ent en vertu du contrat de mariage et du jugem en t de
i 8 3 4 , de p ayer les termes échus en capital el accessoires,
Ceç.
com m andem ent resté sans eljel^fut renouvelé l c (8 jan vier x 838 ., — Le
1 0 , Henri C hauchat fit op p o sitio n , soutenant au fond .« f]U*
sur les 1 5 ,o o o fr. rccfamcs par M a rie, 8,000 fr. avaient èiètpayés. »
— L e 12 , une-,saisie-exécution eut lieu sur son m obilier e t sur ses
bestiaux^ Dans ( l’acte on voit q u ’il s’étonne q u ’on., saisisse aprè»
son opposition et il ajoute : < Qu'au surplus il ne s'opposait point,
�—
3
—
attendu son impossibilité de payei" en ce moment. » P h ilibert Chauchbt
fils et son oncle P hilippe Chauchat furent établis gardiens. — Mo
8 avril, l’huissier constata q ue1 les gardiens ne pouvaient représen
ter les objets saisis ; assignation leur fut donné le 25 j u i n , pour
avoir à les représenter ou à payer la créan ce des époux Marie en
capital et accessoires.
L e 20 juillet une nouvelle saisie-exécution fut faite par le sieur
Marie sur son b e a u - p è r e , q u i , le lendem ain a i , en demanda la
n u llité , par le m o tif q u ê t a n t gardien judiciaire des imm eubles
saisis'sur l u i , les fruits né* pouvaient ôtre l’ob jet d ’une saisie-exécu
tion. — L e 3 a o û t, Henri Chauchat fait signifier des conclusions
dans lesquelles on lit : « Divers paiements ont été effectués...
s a n t NE D ISC O N V IE N T PAS Q u ’i L
UN S
SOIT E N R E T A R D
d ’e n
TAYER
le x p o -
QUELQUES-
; mais le sicur'M arie avait'déjà exercé des poursuites assez rigou
reuses, et
l ’e x p o s a n t s e s e r a i t
sans doute
l i b é r é s ’i l e u t p u p l u s t ô t
et
s ’ il n ’ avait été inopinément poursuivi par un créancier qui a dirigé
contre lui une procédure d ’expropriation... »
1
i!
L e 3 i août, Henri Chauchat donna procuration aux sieurs C h a u ssen'dè1; p rêteu r d ’argent',11 et G a r d é ’,’ 1clerc d ’a v o u é , de vendre ses
im m eubles et d en tou ch e r lé prixJ* Plusieurs ventes eu ren t lieu à
la date du l ’septem bre.
1
H enri C hau ch at’ ,' poursuivi par le sieur M arie, son g e n d r e , reçu ty
à c elte époqiïe^des tnàins de Chaussende u ne somm e de 4,000 fr.
q u ’il rem it au sieur Marie à condition q u ’il suspendrait ses poursui
tes (jt'q u ’il^garantirait le rëm bou rsem ent de cette somme à Chaus¿ende dans le das où Henri C hau ch at ne la paierait pas. C e lte pro
position fut acceptée. Marie signa un billet en faisant p r é c é d e r sa
signature de ces mots : Bon pour quatre mille francs. Ce 'b ille t fut
déposé ch e z M* L io g ie r ,'n o ta ir e , et ne devait être remis q u ’en p ré
sence de toutes les parties.
C ’èst ce billet de g a r a n tie , r e m is e n b la n c /et q ù ’on a transformé en
une quittance finale des i 5 ,o oô fr. constitués en dot à la dame Marie,
qui est la piè*ce principale dii procè-s. Nous la transcrivons en entier.
*' « Je soussigné Jacques M a rie, p rop rié ta ire , habitant
L a b o r i e , com m une de Ceaux-d'Allègre*,
p e r s o n n e l, q ue com m e
agissant
lieu de
tant en mon nom
tuteur> légal d e r mes cnl’ants
»
m in e u rs,
�déclarqjavoir r e ç a de M. G arde, clerc d ’avoué, .habitant au P u y , la
s^hime dc.iquatre m ille francs ,à moi restée'<lue ,,ta n t en capital
qu'intérêts ,çt frais sur la constitution de dot faite par INoël-IIenri
C hau cliat, lors de inon'contrat de mariage avec Augustine Chauchat,
en date du 18 juin 1827,, subrogeant l e d it,M . G arde,à mon lieu et
place. D é p l u s , dans le cas de non allocation en rang u tile -d e la
.susdite s o m m e , tant p our le c a p ita l’ que pour les intérêts q u ’elle
p r o d u i r a i partir de ce j<?ur, je m ’oblige , après la clôture de l ’ordre
qui pourra s ’ouvrir contre mon b e a u - p è r e , à rem bourser
audit
M. Garde la susdite som m e de, quatre, mille francs, avec les intérêts
à partir de c e jo u rd ’hui de m êm e que tous les* frais qui pourraient
être exposés.
,
•
» Au P u y , ce 6 septem bre 1 838 . ,
ï
B on p our quatre ¿mille fra n cs,,
Signé M A R I E , ,
» Yisé pour timbre e t enregistrem ent,
» le ¡4 avril 1848. »
. Le, 8 sep tem b re, Philibert. et^Philippe Chaucliat,! gardiens? firent
^.¡"nifipr, en réponse à l’assignation $ij-25 juin, des conclusion^dans
lesquelles ils soutiennent : q u ’on ne pouvait les faire condamne^,,fjà
défaut de représentation des objets saisis , « au paiement intcgrftl 4*
la créance M ariç qui se porte poutre
FKAPiCs
, tandis (¡ue lcs^objets,sa.i&is ne
A M- -somme .d e d i x
valant q u ’ une somme de
quaire je n is fra n cf___» ■
P a r acte j e ç u L jo g je r , notaire, le 4 -inovcxnbrc, II. Chai^çjiat, çqy
cqnm it devoir àjC baussende e t (Gar,de* ses. mnn.dataires,, u n e s o m m e
de a 5jO oq (fr., p o u r prêt fait ta n t,c i-d e v a n t q u e présentem ent.. 11
fut expliqué^que ce prêt lui était fait ta n t'p o u r ses besoins persorçr
ncls q u e pour l ’acqu ittem en t q u ’il se proposait dp faire de ses dette,}.
11 délùgue en paiem ent différentes c ré a n c e s , c l déclare approuver
les ventes faites p a s s e s m an dataires, le.,2 sep tem b re p ré cè d e n t’.)
L e 3 février i 83 g , Mariq;qui n ’avait point été c om p lètem en t d é
sintéressé p a r le
m ande eu
i>ai?mpp4()chi 6,£çptçiribj'e i 838 , forma .une d e
subrogation: i j a (.saisie im m obilière , e t la dénonça 4«
•() marSjMiivant.à M. Chauchat.
L e 19 février, il fil,un ,comtnatidpineu.t suivi d ’un.prQcès, verbal
�de carence. C et a c t e ,.s ig n é par, i\l.. Chanchat ^constate, qu il a(1r é pondu : ne pouvoir payer de suite n ’ ayant deniers en. mains, pour
se libérer.
’
C.
,,Le >3 juin 1 83 g,;II. C ha u ch a t signifie des conclusions sur la ,d e
mande en subrogation. O n,y trouve c e c i : « En supposant pour\ un
instant que,'le sieur M arie soit encore ,créancier de quelque petites
choses.,, il,n’aurait pas pour cela droit de demander la su brogation ...»
L e 23 août, Marie fait faire .un nouveau commandetnent;i/<? payer
le montant de tous les frais
échus.
,
t
■
L e 26 du même mois „ fut dressé un procèsr-verbal de carence).,
II. Chauchat reconnaît q u ’il n ’est point libéré et s’exprim e ainsi cru
réponse au com m an dem en t :
« A quoijil a répondu* qu'il n ’y, avait pas si lon gtem ps que M arie
» reçut de lui une somme de quatre mille francs ;
»
q u ’i l lu i d e v a it e n c o r e
q u ’i l
sa v a it
b ie n
; m ais que d 'ici à la Toussaint prochaine ,
» il le sortirait de chez lu i, comme il, a sorti les autres
mais qu’ il ne
» pouvait rien ,m ce m om ent, à moins, que,[Marie veuille s’arranger
», avec lui d ’ une manière satisfaisante,¡pour prendre quelques créances,
» que ledit sieur Chauchat lui déléguerait avec sa
».
prenne des biens fonds
g a ra n tie
,uou qu’ il
p o u r c e q u ’i l r e s t e l u i d e v o i r . . . »
, C elte réponse est signée par II. C hauchat.
II. C h a u c h a t(est d é c é d é vers la mois d ’avril iS^o.
P h ilibert Chauchat, après avoir accepté bénéficiairement. sa, suc
cession, introduisit une d e m a n d e e u partage, par acte des i 3 et 1 6 oc
tobre 1840. L e 17 avril 1 8 4 1 , les époux B arth élém y C hau ch at d é
clarent aus^i n ’accepter,1a succession q u e sous bénéfice d ’inventaire.
Q uant à Marie, h 9 août suivant, conform ém ent à la délibération,
du conseil de fa m ille , en date d u . 28 o c to b re 1 8 4 0 , il répudia, au
nom de ses m ineurs, la succession pour s ’en tenir à l’institution conr
• tfactuellç. du »8 juin 1827. L e partage fut ordonné par jugement
<Iu 10 août. L e s experts déposèrent leur rapport le 21 n o vem b re i 84 2 »
ej,.estimèrent les, valeurs im m obilières à 6 o ,o 5 2 fr.
•-
C e partage ne fut pas m ené à Gn. L a saisie ¡minobil'1^
rQ~
i
pcjse, e l l e iG.juillçt 1.845 , G arde devint adjudi,cataire des proprié
tés d ’II^nrj C b a u c h a t, m o yen nant 36 . 5 oo fr. Un ordre fut ouvert.,
Mmie, c o llo q u e dans l’ordre provisoire, ne le Ait pas.dans le r.églc-
�m ent définitif à cause de I’insuflîsance des fonds. L ’ordon nance de
clôture ne fut rendu e q u e le i 4 avril 1848.
i(' j
L e 3 o avril 1 8 4 6 , Garde avait retiré des mains de M. de Y e y r a c ,
notaire au P u y , successeur de M 'L io g ie r , le billet de 4 >°o ofr.<, signé
en blanc par Marie. Il en donna une déch arge ainsi c o n çu e :
« Je soussigné, G ard e, avoué, reconnais avoir retiré d e s mains de
M« de Y e y ra c , notaire , un billet de q uatre mille francs en ma faveur
par M. M a rie , lequel billet ne sera par moi exigé contre Marie que
dans le cas où je ne recevrais pas mon allocation utile en sous-ordre
de la créance de ce dernier contre la succession de N oël-lien ri
C h a u ch a t.
M. de Y e y r a c , en donnant copie de c e t t e ' q u i t t a n c e , reconnaît
q u ’il a remis ce billet en blanc. Nous allons voir dans q u e l intérêt il
a été rempli.
L e 2 d é c e m b r e , P h ilibert Chauchat fit cession à’G arde, par acte sous
seing-privé, de tout ce qui pouvait lui être dû par Marie s u r l ’action
en retran ch em ent de la dot, ainsi q u e de différentes autres créances.
L e montant de cette cession fut fixé h i , 5oo fr. p our la p e r c e p t i o n ^
des droits d ’enregistrem ent.
L e 17 août 18 4 7 , B arthélém y C h a u c h a t , com m e époux de José
p h in e, fit cession au sieur Surrel d ’une som m e de i , 35 o fr. à lui
due par Marie pour intérêt pendant n e u f ans de la som m e capitale de
3^000 fr., provenant du rapport q u ’il doit faire à la masse de la suc
cession.
•
L e 29 sep tem b re 18 4 7 , G ard e, c o m m e subrogé aux droits d e P h .
C h a u ch a t, par l’acte du 2 d é c e m b r e 1 8 4 6 , prit inscription sur les
biens d e Marie pour une som m e d e 9 ,7 7 7 fr. 7 7 c . , formant les trois
quarts de celle de i 3 , o o o f r . , reçue en avancem ent d ’hoirie sur celle
de 15 ,ooo fr.
P a r exploit du a 5 février 1848, les ép ou x B arth élém y C hau ch at
et le sieur S n rrel, firent assigner Marie , pour voir dire q ue la dot
constituée a August'me C h a u c h a t, serait réduite à moitié , tant pour
sa part virile q u e pour son p r é c i p u t , et se voir en c o n s é q u e n c e
con d a m n é à p ayer, i° 3 ,7 5 0 fr. p o u r un quart de la dot , et 20 les
intérêts depuis le décès de l ’auteur com m un. —
L e 21 mars, assi
gnation est donnée à P b . C hau ch at, pour voir s t a t u e r , co n join te-
�m on t avec lui sur la dem ande du a 5 févrierJ — ¡ l é i 4')uin, Garde ,
agissant com m e cessionnaire de P h . C ha u ch a t /'intervint dans l’ins
tance. ’
*r
L e s intérêts de* Marie ne furent point défendus en prem ière ins-'
tance. Un prem ier jugem ent par défaut fut r e i i d u , et lé-tribunal
statua sur l’opposition sans q u ’il y eût de plaidoirie!
Ifl
L e 3 o août 1 8 4 8 , le tribunal rendit un ju g em en t de défaut, par
lequel il joignit la dem ande du 25 fé y r ie r 1 1848 à ia demande en
partage de 1841 î dit q u e l’actif de ia'succe'ssiony'déduction'faite de
4,000 fr. qui doivent être rem boursés â G ardé, ^e réduit ‘à* 1 i 'b d o f r .
touchés par Marie ; ordon ne que''sur cette somm e Marie se retiendra
un quart par p r é c i p u t , plus sa réserve, c ’èst-à-dire la m ôitié, et q ue
l ’autre moitié sera divisée entre P h ilib e rt et J o s é p h in e 1C h a lic h af ;
condam ne , en c o n s é q u e n c e , Marie à payer à chacun de ses c oh éri
tiers 2 ,7 5 0 fr. formant le quart de x 1,000 f r . , avec intérêts depuis
le décès du sieur C hauchat p ère, sauf au sieur S u r r e l'à prélever sur
les intérêts le prix de sa cession; ordon ne enfin q u e les fra is’enitreront en frais privilégiés de p a rta g e , suivant l'a m e n d e m e n t de cha
q ue cohéritier.
,ri
f;
Marie forma opposition à ce j u g e m e n t, le \[\ octo b re , mais il en
f u t débou té par jugem en t du i 3 juin i 84 y ;* ce jugem en t, q u o iq u e
rendu contradictoirem ent, le fut, nous le répétons, s a n s q u ’il eût été
plaidé dans l'intérêt de Marie , et q u ’on eût fait connaître les actes
si importants q u e nous venons d ’analyser.
^
A ppel a été interjeté par Marie, le 19 septem bre 1 8 4 9 , des deux
j u g e m e n ts , en date d es. 3 o août 18^8 et i 3 juin 18/19.'Il soutient
q u e les sommes touchées par lui sur la constitution
dotnté sont
bien inférieures à celles m entionnées dans le j u g e m e n t, et qùiè les
condamnations doivent être réduites sans égard à une orétéridue
quittance finale qui constitue un abus de blanc-seing,
" '«• ....... D I S|i>'4
C U VS .S I O I Ï * "
fT
+
*
-•Uj f j Jj c.
L exposé 'des f a i t s , le rap p ro chem ent des actes *sufliscnt' i démôtitrer—
q ue les prétentions du s ie u r 'M a r ié 1 sbrit fomdééfeV - ^ ' q ue
3’acte du ¿ 'se p tem b re Î 858 n ’efet pà!31& r ic u x V ‘-!-^*ll u ’i l 'i i est pas sîn-
�c è r e , : * - q u ’jil, n’est pas l ’expscssjon de la >;plonlé de^.pa^tîcs-^-et. rç.e
constitue q u ’un ipdi^ncjçt, coupa^lc^abua de^blanc-sejog dans un
b ut de spoliation.
•
i° La prétendue, quittance /inqlq. du 6 .septembre i838, n’a, ju if ¡c te
rédigée alors dans (a form e qu’ elle a aujourd’hui.
i
Marie le nie et soutient, u’av-oji; appos,é au-dessus d e sa signature
q ue ces mots;: Bon pou r quatre mille francs. .
.
L ’cta t.ip a té n el d p (l.’a|Cte.Ifi prouve
.1
-,
. -.,i
11 est rem pli d ’unp autre mai# q u e cçjle dp Marie
, y xj’ q été remis, à,Garde q u e le 3 o avril 1 8 4 6 ;
,'
,
, II.n’;a été enregistré,.que 16,14 avril ¡1848;
./
.... , . ^
I L Cfyouvy „ ancien avqué ç t représentant ,j déclare q u e le billet
.¡. M° <Je Yqyrac recor)naît,qu’il a remis un bqn.en blanc.
E n fin , or},£n coffre la prpiive sj’il y. a la m o i i ^ e incertitude.^ ...
2 0 L e billet en blanc n ’ a p o in té te rempli conformément à sa destin
i .
••'[ii<î. ;o ; 11c
i> r:-;
:
;1jL€S, ïnots, »»crits par Marie : S a n pour quatre mille francs * iq d ir
q u e n t un billet et non une quittance.
Çu on eût .vquliji f«nr<f une . qui.t.tapçe, pn eû t mis, : Bon, pour
q u itta n ce
de quatre mille francs.
.•Marie, maire depni^, i 5 ans de la com m un e de C e a u x , aurait
écrit luirmême la qu^'ttaijce.
Une quittance définitive aurait été passée par acte authentique r
où ç n aurait au m oins( exigé q u e Marie m entionnât q u ’il jdoonait
quittance finale ;
•
. <Z ->1; ............ .. . li;
Il est (itrange q ue ce qui est d û ç n capital, int^fûts et frais,..^é|i;vç
pxactenient à ^ ç o o fr.
.. ,
¡,
■3®.M arie y 'a donné qu ’ un billet, de garantie poufu Çhassendc, dans le
cas où ce \ >derniffi ne sçfa it pas remboursé,par Çhauçhat.
L a situation de Henri C h a u c h a t, poursuivi par Marie et qui avait
don né m andat à Chas$pnde e t Garde d « 'v e n d r e scs p r o p r ié té s , le
•
Il
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4
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#
fait supposer, il paye pour arrêter Tes poursuites et avoir le temps
p ijjà , plusieurs,, v e n t e r o n t eu ;U c.u ;,d e s
S fip m çs Qnt,^,^
tKft<f-°l*
^
^
’a.iitipqs' lq
r w M ,i c n tô ^
billçt
d y rçosé/çh e* 1J* JL iogiçf, ^ q n ^ c , une ga ra n ^ e i.p o u c, Ç(iau<;sçnde
�—
9
-
qui a pu avancer les fonds (Garde, clerc d ’avou^alors^sans fortune,
n ’a pu rien d o n n e r ), et qui réglera ses avances en les compensant
avec les prix d ’immeubles q u ’il doit toucher ou les causes de l ’o b li
gation du 4 novembre 1 838. Tous ces faits seront prouvés s’ils sont
contestés.
4° Le billet en b l a n c d a t é du 0 septembre 1 8 3 8 , ne pouvait pas être
destiné à une quittance et surtout à une quittance finale.
Au 6 septembre 1 838 il restait deux termes à éch oir sur la dot :
mille francs le a5 juin i 8 3 g , et mille francs le a5 juin i 8 4 o .
Ilenri Chauchat poursuivi depuis long-temps par de nombreux
créanciers, dont les immeubles sont saisis, qui a donn é une pro
curation pour vendre ses biens, ne pouvait aivoir ni la v o lo n té , ni la
possibilité de payer par anticipation.
(
<
S’il eût payé par anticipation, après les poursuites nombreuses de
M arie, il eût voulu une quittance précise dans ses énonciations,
authentique, et ne se serait pas contenté d ’un bon en blanc.
■;
Enfin on rapporterait des quittances partielles, justifiant la possi
bilité d ’un paiement définitif, au lieu de se refuser à produire les
quittances q u ’on a en main.
5° Les poursuites de M arie, postérieures au paiement de 4 ,0 0 0 fr.
fait le G septembre 1 8 3 8 , prouvent qu’il n’était pas complètement désin
téressé.
3 février i 8 3 g , demande en subrogation à la saisie im m obilière;
19 février, commandement avec procès-verbal de carence par
lequel Chauchat se reconnaît débiteur.
19 mars, dénonciation de la demande en subrogation ;
23 août, com m andem ent de payer les termes échus;
26
■ ■
1
août, nouveau com m andem ent avec procès-verbal de carence,
de.payer les termes échus, par lequel Chauchat, indiquant q u ’il a payé
4,000 fr. se reconnaît encore débiteur et offre pour se libérer des
immeubles ou des c r é ? n c e s ;
3 0•,\février 1840,
» conclusions sur la demande en subrogation.
O.
Si Alarje est-désintéressé, osora-t-il poursuivre son beau-père?
..Si Chauchat cal libéré,j)erm etlra-l-il à son gendre ces poursuites
réitérées?
,
.¡¡i;-
lilil
6° Les aveux de Henri Chauchat démontrent qu’if est débiteur :et que
�10
—
—
le paiement de. 4,000 fr ., le G septembre 1838 , ne le libère pas complète
ment.
. '■
H a une position obérée.
11 a toujours été poursuivi depuis i 83 /j jusq u ’à son décès en i8'|f>
par son gendre.
‘
L e i o janvier 1 838 , dans son o p p o s itio n , il Soutient : « que sur
les 15,000 fr. réclamés par M arie, 8,000 fr. seulement avaient été payés.. »
L e 3 a o û t, il dit dans ses conclusions :
« ...... Divers payements ont été effectués...
v ie n t
pas
q u ’il
so it
en
retard
d ’e n
L ’e x p o s a n t
payer
ne
Qu e lq u e s- u ns
d isc o n
; mais le
sieur Marie avait déjà exercé des poursuites assez rigoureuses , et
posant
se
se r a it
sans doute
lib é r é
s ’i l e u t
pu
plus
t ô t
,
l ’e x
et s'il n’avait
été inopinément poursuivi par un créancier qui a dirigé contre lui une
procédure en expropriation___»
L e r g février r 83 g., il répond au com m andem ent qui lui est sig
nifié : « ne pouvoir payer de suite n’ayant deniers en mains pour se libé
rer,...» et signe sa réponse.
L e i 3 juin , il écrit dans ses conclusions : « En supposant pour un
instant que le sieur Marie soit encore'créancier de quelques petites choses,
il n’aurait pas pour cela le droit de demander la subrogation. »
Enfin , le 26 août 183c), il avoue dans le procès-verbal de caren ce
q u ’il reste déb iteu r malgré le paiement des 4,000 fr. reçus le 6 sep_
tem bre i 838 , et signe :
« A quoi il a répondu qu’ il n y a pas si long-temps que Marie reçut de
lui une somme de quatre mille francs ;
v a it en co re
q u ’i l
sa v a it
b ien
q u ’i l
lui
de
; mais q u e , d ’ici à la Toussaint prochaine, il le sortirait de
chez lui comme il a sorti les autres ; mais q u il ne pouvait rien en ce mo
ment, à moins que Marie veuille s'arranger avec lui d’une manière satis
faisante , pour prendre quelques créances que ledit sieur Chauchat lùi
déléguerait avec sa
q u ’i l
reste
loi
g a r a n tie
d e v o ir
, ou qu'il prenne des btèns fonds
pour
cf.
...»
O r, cette réponse est faite an com m andem ent du 26 août qui r e
nouvelle celui du i 3 , '¿t par lesquels on ne dem ande q ue le paie
ment des termes échut.< On reconnaît q u c l e s 4 >ooo fr. ne com plètent
pas la libération, et 011 s’explique q u ’il doit en fttre a in s i, puisque
dans l’opposition du 10 janvier 1 858 , on avouait n ’avoir payé q u e
�—
11
—
8.000 fr. sur les i 5 ,ooo fr. constitués en c l ô t , cV st-à-dire les an
nuités é c h u e s du 25 juin i 828 au 25 juin i 833 . En payant 4 ,0 0 0 fr.
le 6 septem bre 1 838 , on ne faisait don c que. payer les quatre an
nuités échues de i 834 à 18 37, sauf à tenir com pte .dès intérêts qui
avaient c o u r u , e td e .s fro is considérables qui avaien t été fait».
Si Chauchat est Jibéré ^ s’il >a une q uittance 'finale , fera-t-il ces
aveux? Se laissera-t-il poursuivre sans s e -p la in d re , sans p r o te s te r ,
sans justifier de sa libération ? u
il, -
•
’ ' ■
)
*' i
7* Les aveux de Philibert Chauchat, cédant de Garde, prouvent g u u n t
quittance définitive na.pas été,donnée par M arie.
En effet, le 8 septem bre 1 838 , d eu x jours après l e 'p a i e m e n t ,d e
4.000 fr. q u ’il,a d û !nécessairem ent connaître,,fil soutient!: qu!onaie
saurait le condam ner à défaut de représenter des objets saisis,et dont
il est g ardien , 1 au paiement intégral de la créance Marie qui se porte,
outre les accessoires,
A la. s o m m e 'd e d i x m il l e f r a n c s . . . .
»
8° Enfin, les aveux de Garde luùmême conduisent à la même solution.
L e 2g sep tem b re 1847»
prend une inscription c o m m e cession-
naire de Pli. Chauchat pour la som m e de 9 ,7 7 7 fr. 77 c . , formant
les trois quarts de ce lle de i 3 ,ooo f r . , reçue par Marie en avance
m en t d ’hoirie sur celle de 1 5 ,oo o fr.
O r, le 3 o avril 1 846 , il a retiré des mains de M. V e y ra c l ’acte du
6 septem bre i 838 .
Si cet acte n ’était pas un blanc s e i n g , si cet acte portait réelle
m en t quittance définitive de la d o t de
i
5» oqo , il ne pouvait l’ign o
rer. P o u r q u o i donc n’évaluc-l-il q u ’à i 5 ,o o o f. les sommes payées? Il
le fait sans doute parce q u e le blanc seing n’e it pas encore r e m p li,
q u ’il n’a pas songé à en
faire une quittance définitive et q u ’il ne
calcule, c o m m e p a y é s , que les termes é c h u s , tout devant faire sup
p oser, tout lui donnant la certitude que Chauchat n ’a pas payé par
anticipation à son g e n d re les termes à échoir.
Nous avons don c dém ontré ju sq u ’à l'évid ence l’indigne abus q u ’on
a fait du b la n c seing remis par Marie, et la n écessité, pour fixer le
rapport q u ’il doit faire à la succession de son b e a u -p è r e , d ’exiger la
production des quittances partielles q u ’il a do n nées et qui seules
p euvent et doivent fixer sa position.
11 u ôus resterait à re ch e rc h e r si les autres énonciations de la p ré-
�tendue quittance du 6 sep tem bre 1 838 sont sincères ; — si les fonds
ont été fournis par G a r d e , clerc d ’avoué^ alors, sans fo r t u n e ': —
l ’on est convenu
si
q u e dans le cas de non allocation en rang utile-
à un ordre qui ne devait s ’ouvrir que huit ans a p rè s , en 1 8 4 6 , sur
des biens adjugés le 16 juillet 1 845 , il pourrait réclam er les 4 o o o f.
en capital et in térêts; — si cette somme avancée p a r C h a u ss e n d e ,
ne lui a pas été re m b ou rsée par C h a u ch a t... Nous réservons cet
exam en et celui de q u e lq u e s questions accessoires pour la plai
doirie.
’
'
Nous n ’avons voulu, nous le répétons, dans c e t exposé somm aire;
q u e préciser les faits essentiels et rapprocher les actes les plus im
p o rtan ts, laissant à la c o n s c ie n c e du magistrat le soin d ’apprécier
•la moralité de ce procès.
.-
‘
M* F é l i x GRELLET ,
M* A L L A R Y , avoué.
a v o c a t
.
i'T;>
RIOM IMP DE E LEBOYER
�
Dublin Core
The Dublin Core metadata element set is common to all Omeka records, including items, files, and collections. For more information see, http://dublincore.org/documents/dces/.
Title
A name given to the resource
Factums Godemel
Relation
A related resource
/files/factum-remarquables/BCU_Factums_G0301_0007.jpg
Description
An account of the resource
<a href="/exhibits/show/factums/thesaurus">En savoir plus sur les factums</a>
Text
A resource consisting primarily of words for reading. Examples include books, letters, dissertations, poems, newspapers, articles, archives of mailing lists. Note that facsimiles or images of texts are still of the genre Text.
Dublin Core
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Title
A name given to the resource
[Factum. Marie, Jacques. 1848?]
Creator
An entity primarily responsible for making the resource
F. Grellet
Allary
Marie
Subject
The topic of the resource
successions
blanc-seing
saisie immobilière
experts
avancement d'hoirie
élections
opinion publique
Description
An account of the resource
Titre complet : Précis pour Jacques Marie, appelant ; contre 1 ° Clément Garde, avoué au Puy, et Philibert Chauchat dont il se dit cessionnaire ; et 2° les époux Barthélemy Chauchat, et Henri Surrel, se disant leur cessionnaire pour partie ; tous intimés.
Annotations manuscrites.
Publisher
An entity responsible for making the resource available
Imprimerie B. Leboyer (Riom)
Date
A point or period of time associated with an event in the lifecycle of the resource
Circa 1848
1827-1848
1814-1830 : Restauration
1830-1848 : Monarchie de Juillet
Type
The nature or genre of the resource
text
Format
The file format, physical medium, or dimensions of the resource
application/pdf
12 p.
Identifier
An unambiguous reference to the resource within a given context
BCU_Factums_G3021
Source
A related resource from which the described resource is derived
Bibliothèque Université Clermont Auvergne
Cour d'Appel de Riom, Collection Godemel
Language
A language of the resource
fre
Relation
A related resource
BCU_Factums_G3022
vignette : https://bibliotheque-virtuelle.bu.uca.fr/files/thumbnails/6/53638/BCU_Factums_G3021.jpg
Coverage
The spatial or temporal topic of the resource, the spatial applicability of the resource, or the jurisdiction under which the resource is relevant
Le Puy-en-Velay (43157)
Alleyras (43005)
Saint-Jean-Lachalm (43198)
Chambarel (terre de)
Céaux-d'Allègre (43043)
Rights
Information about rights held in and over the resource
Domaine public
avancement d'hoirie
blanc-seing
élections
experts
opinion publique
saisie immobilière
Successions
-
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e6cdda9909e0c91e8eecbed878abd14d
PDF Text
Text
/
-z j ï T â r
■a.
MÉMOIRE
POUR
,
, ,
M. JOSEPH-ANDRÉ-CLÉMENT GARDE,
Ancien avoué au Puy, intimé
CONTRE
JACQUES MARIE,
De Chambarel, commune de Céaux-d’Allègre appelant
EN PRÉSENCE DE
BARTHÉLÉMY CHAUCHAT
ET
,
JOSÉPHINE CHAUGHAT,
mariés
ET
M. HENRI SURREL,
Leur cessionnaire, aussi intimé.
A. propos d’un débat judiciaire, dont je n'ai pas même pris l'initiative
en première instance, et qui offre du reste un intérêt bien minime, puis
qu'il ne s’agit que de 750 francs en capital, un lourd factum, vient d’être
distribué non seulement
Riom, dans
la
magistrature et au barreau, mais
encore dans le département de la Haute-Loire, dans plusieurs
ca n ton s,
on il a été prodigué avec soin et intelligence à des chefs de parti, qui
l’ont lu publiquement et ont fait tous leurs efforts pour expliquer et in
sinuer les calomnies qu’il contient, et en leur donnant
en core
une plus
grande extension.
Depuis longtemps l’usage des Mémoires imprimes est un peu passé de
mode ; on ne les pratique plus guères aujourd'hui que dans les grandes
�luttes judiciaires ; ils ne se justifient plus que par de grands intérêts pécu
niaires ou par la gravité des questions de droit ou de jurisprudence qu’ils
discutent, ou bien encore lorsqu’ils ont pour objet ces procès d’un reten
tissement général dans lesquels, soit la politique, soit l’honneur des fa
milles peuvent se trouver mêlés, et qui par la complication et l’intérêt des
faits peuvent offrir au public un attrait quelconque.
« Jacques M a r ie , gendre de No'êl-Henri C hâucuat , a-t-il reçu
» et doit-il rapporter 11,000 f r . ou bien seulement 8,000 f r . sur
« l'avancement d'hoirie constitué à sa fem m e par le p ère de c e lle -c i,
»j lors de leur contrat de mariage ! 33
Telle est, en toute sincérité, l’énonciation de la simple question de fait
que présente à juger le procès que j’ai devant la Cour, et qui semble à
mon adversaire mériter les honneurs dispendieux du Mémoire imprimé.
Si, à propos de ce procès et de ce mémoire je me trouvais réellement
en face de Marie, et que ce dernier eût imaginé ce procédé de défense
extraordinaire dans l’intérêt de sa cause, je me bornerais à discuter.
Mais quand j’ai vu tant de bruit pour si peu ;
Quand j’ai lu ce tissu d’imputations calomnieuses où l’on me reproche
avec tant d’impudence :
« D'avoir transformé un billet en une quittance fin a le, dans un
33
but de spoliation ;
33
33
D 'être ainsi l'auteur d'un indigne et coupable abus de blanc-
sein g , etc ., etc. »
Ma susceptibilité a dû nécessairement en être excitée, et avant d’en
treprendre ma justification, qui sera si facile, j’ai dû rechercher quel était
dans tout ceci mon véritable adversaire.
Quelques simples réflexions m’ont logiquement amené à penser que
j’avais bien réellement pour antagoniste personnel, dans cette lutte,
Me Félix G r e l l e t , avocat à la Cour d’appel de Riom, ex-constituant et
candidat malheureux h la législative dans le département que j’habite, et
où j’ai le bonheur de compter quelques amis.
Je me suis rappelé que lors de sa première candidature pour la Consti
tuante, j’avais déclaré publiquement le repousser dans les réunions de la
�corporation dont je faisais alors partie. Cette circonstance me confirma de
plus fort dans cette pensée.
D’ailleurs, peut-il rester le moindre doute à cet égard, lorsqu’on voit ce
prétendu mémoire non signé de la partie, et l’avocat prendre seul, par sa
signature, la responsabilité de son acte ?
Jacques Marie n’était donc qu’un prétexte pour M. G r e l iæ t .
On dit, Monsieur, que vos fonctions de législateur vous ont un peu
trop distrait de vos études judiciaires : pour aller à la Constituante, vous
avez abandonné la clientèle; elle vous en a , dit-on, gardé rancune.
Aussi, en fait de dossiers, vous éprouvez sans cesse le besoin de rem
placer la qualité par la quantité. Ce serait lin désir légitime, mais lors
qu’ une cause que vous plaidez n’a qu’une chétive importance, il ne
faudrait pas cependant vouloir la grossir aux dépens de la vérité et de
l’honneur de vos compatriotes.
Et d’ailleurs, prenez exemple sur ceux de votre ordre et regardez
quelles réserves les avocats les pins renommés mettent à accueillir les
allégations récriminatoires de leurs cliens.
J’ai pratiqué comme vous la vie du barreau. Elle ne serait pas possible
s’il fallait se rendre sans cesse l’écho de la passion aveugle des plaideurs.
Pourquoi à celle de votre client avez-vous encore ajouté la vôtre?
Pourquoi?......Vous vous garderez certainement de le dire. Dans notre
département, tous ceux qui liront votre mémoire le comprendront facile
ment; mais à Riom on peut l'ignorer. Je vais donc le raconter ici.
Je vais du moins faire part de mes suppositions, qui semblent si vrai
semblables.
Pour devenir homme politique après la révolution de février,
vous
en
avez épousé la cause avec une ardeur qui contrastait avec le nom que vous
portiez.
Pour être élu constituant, vous avez passé pour
caresser
tour-à-tour
tous les partis qui pourraient apporter dans l’urne le contingent de leur
influence.
Vous avez cherché des auxiliaires chez les démocrates, chez les légiti
mistes , chez les conservateurs, auprès du
c le r g é .
�Plusieurs d’entre nous pensèrent que l’ambition entrait dans votre rôle
pour beaucoup plus que la sincérité des convictions.
De mdme que dans les élections antérieures on trouvait dans votre
maison un électeur censitaire pour chaque candidature, de même vous
pensâtes, en avril 1848 , que vous arriveriez à la Constituante par vos
amis politiques aussi bien qu’avec l’aide de ceux de vos frères et de votre
père, qui appartenaient cependant à des partis difïerens.
Le jeu fut savamment joué et vous fûtes élu par 35,000 suffrages.
Quelques-uns cependant manifestaient des défiances tout en adhérant
avec ma corporation. Je restai dans la phalange des trainards, de ceux qui
ne vous acceptaient que sous bénéfice d’inventaire.
Lorsque nous le fîm es, cet inventaire, en 1849, il était encore temps
pour nous de nous raviser. Nous vous répudiâmes purement et simplement,
définitivement aussi, je l’espère.
Je ne croyais cependant pas m’être attiré personnellement votre colere
pour cela ; car il me semble, si j’ai bonne mémoire, que 30,000 «lecteurs
furent aussi de mon avis. C’est bien à peu près la différence entre votre
chiffre de 1848 et celui de 1849, quoiqu'un an à peine se fût écoulé entre
les deux candidatures.
Vous auriez dû y puiser une leçon, Monsieur Félix Grellet, au lieu d’y
chercher l’occasion de fomenter vos colères dont le public se rira, et qu’il
est d’ailleurs de bien mauvais goût d’introduire dans un mémoire sur un
procès d’aclion en retranchement de donation ; intéressât-il même votre
ami lo démocrate Jacques Marie, victime des brutalités du Pouvoir actuel,
et qui cependant, entre nous, a été destitué de ses fonctions de maire
plutôt pour son ivrognerie que pour l’analogie de sa politique avec la vôtre.
Par celte digression préliminaire, j’ai voulu prouver que votre précis
n’émane pas de l’avocat, du jurisconsulte, du v ir bonus dicendi peritus;
qu’il est bien plutôt l’ccuvre de l’homme politique passionné, mécontent,
irrité de ce que son pays en le jugeant l’a connu
ou
méconnu; que, par
suite, il ne faut pas en accepter légèrement les articulations et les déduc
tions.
Cette vérité va devenir évidente, mathématique, par la discussion
abrégée à laquelle je vais me livrer.
�FAITS ET DISCUSSION.
Sans doute, dans votre mémoire l’analyse de certains faits, de certains
actes est exactement rapportée.
Noël-IIenri Chauchat a eu trois enfans, dont Augustine, femme Marie,
décédée depuis longtemps.
Par contrat de mariage, du 18 juin 1827, 15,000 fr. lui avaient été
constitués en avancement d'hoirie. 2,000 fr. furent quittancés dans l’acte;
le surplus fut attermoyé à paiemens annuels de 1,000 fr ., sans intérêts.
Au six septembre 1838, 2,000 fr. étaient encore à échoir. Je le re
connais, et peu m’importe. A celte époque et depuis longtemps déjà,
Chauchat était en butte aux poursuites de Marie. Elles étaient fort acerbes.
Une instance d'opposition avait été liée à cette occasion devant le
tribunal civil du Puy. En même temps, Chauchat était, de la part d’un
autre créancier, l’objet de poursuites en saisie réelle.
Au 31 août, M. Chaussende et moi nous passâmes avec Chauchat des
conventions par suite desquelles il nous donna pouvoir de vendre ses
immeubles, et nous nous engageâmes A lui payer ses créanciers, afin de
se soustraire à leurs poursuites.
C’est en exécution de ces conventions que je payai moi-même le six
septembre 1838, à Marie, une somme de 4,000 fr. à la décharge de
Chauchat.
Je dis moi-môme, afin de rectifier votre allégation sur ce point et les
insinuations que vous voulez en faire ressortir. C’est donc moi qui payai.
Mon compte-courant avec la maison de banque Bonnet-Blanc, qui sera
produit devant la C our, l’établira suffisamment.
Mais je devais payer à bon escient ; le désordre des affaires de
père indiquait assez que
la
dot faite à sa fille, femme Marie,
C h a u ch a t
serait
sujette
à rapport.
Tout en libérant Chauchat, il fallait que les deniers me fussent garantis
personnellement par Marie. Ce dernier y consentit ; le mémoire ne dit pas
et ne peut pas dire le contraire.
Toutes ces conventions se passèrent devant M" Liogier, alors notaire et
�depuis juge au tribunal civil du Puy, qui était investi de la confiance de
toutes les parties.
Chauchat s’élait obligé envers M. Chaussende et moi, mais la garantie
de Marie n’était que subsidiaire; elle serait devenue sans objet si Chauchat
avait pu nous payer.
C’est par cette raison qu’en échange des 4,000 fr. que je payai, Marie
donna à Me Liogier un blanc-seing en ces termes : Bon pour quatre
mille francs.
Ce blanc-seing lui fut confié et une note dut être rédigée pour être
annexée à ce dépôt, comme cela se pratique ordinairement.
Mais il est certain que Marie, en échange des 4,000 fr ., ne fournit pas
d’autres quittances ou déclarations.
Il est certain que le blanc-seing devait servir ou à Chauchat ou à m oi,
ou à l’ un et à l'autre, suivant l’éventualité des circonstances que je viens
d’indiquer.
Mais Marie a-t-il reçu de moi 4,000 fr. ?...... Oui !
A-t-il promis de me les rembourser personnellement si Chauchat ne me
les restituait pas ?...... Oui.
Jusques ici nous serions d’accord avec Marie et avec Me Grellet.
Avais-je dans l’affaire d’autres intérêts que celui de faire constater que
je trouverais mes 4,000 fr. chez Marie ou chez Chauchat ?
Evidemment non..... Ici encore pas de controverse possible.
Mais le notaire dépositaire avait évidemment un autre devoir à remplir
que celui se rapportant exclusivement à mes intérêts;
Il fallait qu’avec la seule pièce dont il était nanti, le bon de 4 ,0 0 0 J r . ,
il surveillât les droits de Chauchat et les miens, c’est-à-dire que, pour
in o i, il deTait nie représenter un billet de 4,000 fr ., pour le cas où je ne
serais paye de Chauchat, et pour Chauchat ou ses héritiers, il devait leur
représenter la quittance arrêtée lors du paiement.
O r, voici ce qui se passa : après l’expropriation des biens de Chauchat
père, il fut évident que les sommes qu’il nous devait, à M. Chaussende
et à moi, et pour lesquelles il nous avait consenti une affectation hypothé
caire, ne viendraient pas en rang utile dans l’ordre de ses biens.
�M. Chaussende , propriétaire honorable, qui n'était devenu que trcsincidemmcnt et très-exceptionnellement spéculateur, M. Chaussende était
âgé et mal portant. Nous réglâmes et séparâmes d'un commun accord nos
intérêts par l’intermédiaire de son ami l’honorable M. Guilhot-Chazalet,
avocat, aujourd’hui magistrat.
Je restai propriétaire de l’entière créance Chauchat, â mes risques et
périls ;
Je demandai à Me Liogier et à Me de Yérac, notaire, son successeur,
le blanc-seing souscrit par Marie, en 1838.
Cette pièce avait été égarée, on fut longtemps à la retrouver, environ
deux ans , je crois.
E n fin
le 30 avril 1846, Me de Yérac me la remit en échange de la
décharge textuellement citée dans le mémoire de Me G r e lle t .
Avant d'en faire usage je dus m’adresser à M. Liogier, ancien notaire,
alors juge, pour faire remplir le blanc-seing, de conformité aux conventions
respectivement faites entre toutes les parties, en sa présence et sous ses
auspices, le G septembre 1838.
Pour mon compte, alors, je n'avais qu’ un intérêt à surveiller, ainsi que
je le démontrerai dans un instant ; je n’avais qu’à demander que la pièce
fût rédigée de manière à m’assurer le remboursement par Marie, à défaut
de Chauchat, des QUATRE MILLE FRANCS que j’avais payés le 6 sep
tembre 1838, avec les intérêts depuis celte époque.
C’était incontestablement mon droit, c ’était la conséqence de la conven
tion loyalement faite entre nous.
Je ne puis, en c e c i, être contredit par personne.
Mais je poursuis le récit des faits :
M. Liogier remplit le blanc-seing suivant ses notes ou ses
s o u v e n ir s ,
peu
m’importe; il était alors et serait encore, sur ce point, le seul juge..... Je
n’avais point d’intérêt dans la rédaction, en ce qu’elle avait trait à la posi
tion de Chauchat et de Marie ; je n’y pris aucune part, si ce n’est peut-être
dans l’intérêt de la vérité et de la justice, afin que tout fut réglé selon que
cela avait clé stipulé en 1838.
Cependant il nie sera facile de démontrer que M. Liogier, indépendant-
�ment de ce qu’il dût bien certainement procéder conformément à ses
devoirs de dépositaire, a dû agir aussi suivant les vraisemblances.....
Mais n'anticipons pas......
Le 2 septembre 1 83 7 , Marie avait inscrit au bureau des hypothèques
du Puy sa créance contre Chauchat.
Qu’avait-il inscrit?.... QUATRE MILLE FRANCS, exigibles: 1,000 fr.
présentement, 1,000 fr. le 25 juin 1838, 1,000 fr. le 25 juin 1839, et
1,000 fr. le 25 juin 1840 (derniers termes stipulés dans le contrat de
mariage et au moyen de ces 4,000 fr. qui ont été quittancés solde de la
dot)Son avoué, alors rédacteur de l'inscription, était Me Chouvy, aujour
d’hui représentant du Peuple.
Cependant c’était avant mes négociations; je fus donc bien étranger à
cette fixation, par le créancier, du chiffre de sa créance.
Par double emploi, sans doute, et le 29 mai 1838 , Marie avait encore
pris une nouvelle inscription.
Combien inscrivait-il ?.... QUATRE MILLE FRANCS.
Le rédacteur de l’inscription fut encore Me Chouvv.
Le 3 février 18 4 6 , l’ordre des biens de l’hoirie de Chauchat père fut
ouvert devant le tribunal civil du Puy.
Marie y fut appelé comme créancier, il confia ses intérêts à M8 André,
avoué, successeur de Me Chouvv.
Combien réclamait-il contre l’hoirie de son beau-père, comme reste im
payé sur la dot constituée à Augustinc Chauchat?.... QUATRE MILLE
FRANCS.
Je me présentai moi-meme en sous-ordre de Marie, en vertu de la quit
tance du 6 septembre 1838 ; je demandai, en vertu de cette pièce , toutes
les sommes allouées
Marie.
Ici les faits parlent si puissamment que je ne puis résister à citer tex
tuellement les termes dans lesquels la collocation de Marie fut faite, par le
commissaire, dans son état provisoire du 24 juin 1846.
« 9 me RANG.
■» A la date de l’inscription du 2 septembre 1837, avons alloué le sieur
» Jacques Marie, propriétaire, demeurant au Mas-dc-la-Boric, commune
�9 -m
de Céaux-d’Allègre, en qualité de tuteur légal de ses enfans mineurs
» issus de son mariage avec feue Marie-Augusline Chauchat :
« 1» Pour la somme de 4,000 fr. , montant de la constitution de dot
» faite par le père Chauchat à sadite fille, dans son contrat de mariage
» reçu Me Pertuis, notaire à Cayres, le 18 juin 1827, c i, 4,000 fr. ;
« 2° pour trois années d’intérêts conservés pour l’inscription, plus pour
» ceux courant depuis l’ouverture de l’ordre à la clôture, c i , M ém oire ;
» 3° pour les frais exposés que nous liquiderons lors de la clôture, ci,
« M ém oire ; 4° pour les frais de production, etc.
>3 En sous-ordre de cette collocation, avons alloué Me Garde, avoué
» près ce tribunal, comme ayant desintéressé ledit Marie: 1° pour la
somme de 4,000 fr. qu’il lui a payée le 6 septembre 1838 ; 2° pour les
jj intérêts de cette somme, depuis la même époque à la clôture, c i ,
« M ém oire ; 3° pour les frais de production, c i , M ém oire. »
Il est certain que ces deux inscriptions et cette collocation suffisent pour
répondre à M° G rellet.
Cet état provisoire n’a pas été contredit par Marie, il ne s’est pas récrié,
il n’a pas dit qu’il lui était dû plus, il n’a pas dit que je n’avais pas droit à
la somme qui lui était allouée.
N on, l’ordre ne contient, à cet égard, aucune contestation de sa part.
Les conséquences sont très-faciles à tirer, mais d’abord la date en est
essentielle à retenir.
L’état provisoire est du 24 juin 184G; ma demande en sous-ordre est
donc antérieure.
Elle n’a pu être basée que sur la quittance du 6 septembre 1 83 8 , rem
plie par Me Liogier, dans les termes indiqués par Me Grellet, dans son
Mémoire.
Alors je n’étais pas cessionnaire de Philibert Chauchat, ce n’est qu’à la
date du 2 décembre 1846 , qu’en faible compensation des sommes consi
dérables qu'il me doit encore, il me céda, à l’aide d’ un sacrifice que je fus
obligé de faire, son droit dans l’action en
r e tr a n c h e m e n t
qu’il avait a
exercer contre son beau-frère Marie.
J’avais donc raison
d e le d ir e
: que
m ’ im p o rta it
au 30 avril 184G, losque
�—
10 —
Me Liogier remplit le blanc-seing, ou même plus tard, en supposant qu’il
ne fût pas rempli au 30 avril, que m'importait la stipulation entre Marie et
Chauchat ; il est certain qu'au 24 juin 1846 cette rédaction était chose
accomplie, puisque ma collocation en sous-ordre a été faite sur cette pièce.
Au 24 juin je n’avais donc pas plus d’intérêt qu’au 30 avril 184G, puis
que mon droit n’est né que le 2 décembre et par l’acte de cession que
Philibert Chauchat m’a fait ce jour-là.
Le 13 janvier 1847, je fis signifier ce transport à Marie.
Là se bornèrent mes poursuites.
La position de Marie était assez bonne ; il passait pour être riche, il avait
un grand crédit, de forts revenus ; à peine si sa propriété était grevée de
quelques hypothèques, et sa propriété passait alors pour valoir son prix
d’acquisition, environ 120,000 fr.
Si j’étais un spoliateur, je n'étais pas du moins bien impatient de m’ap
proprier le fruit de ma spoliation.
C’est le 21
m a rs
1848 que la femme de Barthélémy Chauchat, belle-
sœur de Marie, intenta contre lui l’action en retranchement de la donatiou
du 18 juin 1827.
Elle était de la famille , elle devait savoir, mieux que m oi, ce qui s’y
était passé.
Elle demanda tout-i-fait en dehors de moi sa part dans les 15,000 fr.,
montant de la dot faite et payée à sa sœur, la femme Marie.
Comme cessionnairc des droits de Philibert Chauchat, je dus figurer
dans cette instance, je dus aussi m'associer à la demande des époux Bar
th é lé m y
Chauchat.
Ceux-ci avaient basé leurs prétentions sur la notoriété des faits qui ne
paraissaient pas contestés par Marie.
Cependant ayant appris que Philibert Chauchat était nanti de certaines
quittances fournies par Marie antérieurement h celle du G septembre 1838,
et s'élevant ?» G,000 fr . ; ayant appris que Marie, connaissant la position
obérée de Philibert Chauchat, vo»ilait les lui acheter;» prix d'argent pour
les anéantir et se soustraire à leur réclamation , les mariés Barthélémy
Chauchat obtinrent de Philibert qu’ il les confierait à Me Labalie, leur
avocat, ce qui fut ainsi effectué.
�En 1848 , la cause fut portée à l'audience.
Marie se fit représenter par Me André, avoué, et par Me Richond,
avocat.
Des remises nombreuses furent accordées.
Enfin, le trente août, un jugement de condamnation fut prononcé par
défaut de plaider.
Le 14 octobre 1848, il fut frappé d’opposition ; mais dans l’opinion de
ceux qui la reçurent,
comme aussi,
sans doute, dans l’opinion
de
M® André, avoué, qui la fit signifier, c ’était une opposition dilatoire.
Cependant on revint à l’audience, Marie était encore représenté par ses
conseils, on ne contestera.
Cependant, après maintes remises, le 13 juin 1849, un nouveau juge
ment par défaut de plaider condamne encore Marie à payer à chacun de
ses deux cohéritiers, 2,7i)0 fr. en capital, pour le quart leur revenant dans
la restitution de la dot de 1 îj,000 fr. constituée et payée par Chauchat père
à Augustine Chauchat, femme Marie, déduction faite des 4,000 fr. que
Marie avait été condamné à me rembourser comme ne les ayant avancés
que sous cette condition, qu’oiqu’en l’acquit de Chauchat père.
C’est contre ces deux jugemens que Marie a relevé l’appel auquel je
dois les foudres éloquentes de l’avocat Félix G r e l l e t .
Passons à un autre ordre de faits.
Pendant que se poursuivait, au nom des mariés Barthélémy Chauchat,
l’instance terminée au Puy par le jugement du 13 juin 1849, j’avais moimême actionné Marie, en remboursement des 4,000 fr. qui m’avaient été
garantis par la quittance contestée.
Le 19 avril 1848, je le fais assigner.
Le 3 mai, M° André se constitue.
Me Richond, avocat, fut chargé de le défendre. Le 20 juin 1848, inter
vient un jugement qui vise la quittance du G septembre 1S38 et condamne
Marie à me payer les 4,000 fr.
Jacques Marie parlait-il d’abus de blanc-seing? s’insurgeait-il contre la
rédaction de la quittance du G septembre 1838? pas le moins du monde.
11 demanda un délai pour se libérer.
�Ce délai lui fut accordé.
Le 2 novembre 1848, jour de son expiration, il m’apporte un à-compte
de oOO fr ., il acquiesce donc au jugement basé sur la quittance ; plus
tard ce jugement lui est signifié, il laisse passer les délais de l’appel sans
l’attaquer.
Plusieurs mois après, et de guerre lasse, je l’exproprie en vertu du juge
ment du 20 juin 1848.
Le 27 juillet 1 8 4 9 , il incidente encore, mais pour demander un délai;
je m’en remis à la sagesse du tribunal, qui surseoit pendant huit mois.
Dans cette longue instance , qui est toute contradictoire, Marie n’arti
cule pas un seul mot de récrimination contre la rédaction de la quittance
du 6 septembre 1838;
Et cependant c’ est sur celte pièce que roule toute cettè procédure ;
c ’est elle qui sert de base au jugement du 20 juin 1848.
L’exposé qui précède est aussi simple qu’il est sincère.
Arrêtons-nous donc ici.....
Supprimant un instant du débat la rédaction de la quittance du G sep
tembre 1838 , quel est l’homme, tant soit peu versé dans les aflaires judi
ciaires , qui ne sera pas porté à croire que celui qui, par deux fois et par
le ministère d’un homme d’affaires intelligent, n’inscrivait une créance que
pour 4,000 fr. de capital, ne réclamait ensuite que ce chiffre dans un
ordre judiciaire, laissait passer cet ordre sans contestations, laissait enfin,
alors qu’il était défendu par deux hommes consciencieux et intelligensj
Me André, avoué, et Me Ricliond, avocat, laissait rendre, par défaut de
plaider et devant les juges de son pays, deux jugemens successifs consa
crant le même fait et, en outre, parallèlement à l'instance dans laquelle
se rendaient ces deux jugemens, en subissait un autre dans laquelle aussi
intervenaient deux autres jugemens auxquels il a acquiescé et qui étaient
basés1sur la pièce qu il méconnaît aujourd’hui ;
Quel est, disons-nous, celui qui ne sera pas porté à croire que si tout
s’est ainsi accom pli, c'est sous l’empire de la vérité des faits.
Et quand bien même, ce qui probablement n’est pas, quand même
Me Liogier n’aurait rempli, en forme de quittance finale, le blanc-seing
�—
13 —
du 6 septembre 1838, qu’avec les données que nous venons d’analyser,
qu’y aurait-il là de bien surprenant ?
Les paiemens de la dot sont constatés jusqu’à concurrence de 8,000 fr .,
de 8,000 à 11,000 fr., la lacune n’est comblée que par la constatation
implicite delà quittance du 6 septembre 1838.
Cette différence est de 3,000 fr ., le quart en revenant est de 750 fr .,
comme je le disais en commençant; c’est donc 750 fr. que j’aurais voulu
spolier ?
Ainsi d o n c , si j’ai excipé de cette quittance, c’est sur la provocation des
demandeurs, les mariés Chauchat, membres de la famille, qui devaient
»avoir, mieux que m o i, ce qui s’y était passé.
C’est parce que celte quittance se trouvait en harmonie avec les inscrip
tions de Marie, avec les bordereaux que lui-même avait faits de sa créance ;
C’est parce que l’ordre de 1846 était encore un nouvel acquiescement
de Marie;
C’est parce que ni le 30 août 1848, ni le 13 juin 1 84 9 , lorsque par
deux fois il s’était laissé juger par défaut, Marie ne s’était nullement récrié
contre la mention de la quittance du 6 septembre 1838 ; c ’est surtout
parce que ma demande au 19 avril 1848 contenait signification de cette
quittance, et que Marie a laissé rendre contradictoirement le jugement du
20 juin 1848, qui vise cette même quittance et prononce la condamnation
qui en est la conséquence.
Si j’ai fait une fraude, j’ai dû avoir pour complices les mariés Chauchat,
demandeurs en retranchement, M. Liogier, ancien notaire ; mais il faut
l’avouer, le complice qui m’aura le plus aidé, qui m’aura le mieux facilité
la fraude, qui en aura préparé tous les moyens, ce sera évidemment.....
J acques MARIE,
le malheureux à qui Me Grellet n’avait pas encore fait
l’opération de la cataracte; cet homme qui maintenant s’ est lancé dans la
démocratie et qui sc croit un personnage politique depuis que» Par la
perte de ses fondions de maire de la commune de Céaux-d’AlIègre, qu’il
ne savait plus exercer que dans les tavernes de son village, il a eu le bon
heur de conquérir les sympathies d u représentant C h o u v y et surtout celles
de M. GRELLET, cx-conslituant; à tel point que ce dernier, oubliant
�la dignité de sa profession, ose m’accuser d’être l'auteur d'un indigne et
coupable abus du blanc-seing , alors qu’il sait Lien que ce blanc-seing
n'a pas été rempli par moi, et que, d’ailleurs, à l’époque où la rédaction
a été faite, je n’avais nul intérêt à ce qu’elle renfermât la stipulation contre
laquelle il se récrie aujourd'hui.
C’en est assez, sans doute, pour convaincre nos juges.
Cependant il me resterait à réfuter M0 Grellet sur deux points :
1° En 1847 j’aurais moi-même inscrit ma créance en ne fixant qu’à
13.000 fr. la somme reçue par Marie, sur celle de 15,000 fr. constitués
à sa femme ;
2° Postéiieurement au 6 septembre 1838 , Jacques Marie aurait encore
poursuivi son beau-père Chauchat, et Chauchat père, ainsi que Chauchat
fils avaient recçnnu que Marie était encore créancier : donc la quittance du
6 septembre 1838 ne saurait être finale.
Sur le premier article la réponse est facile.
La somme que Marie devrait rapporter, s’il n’était pas condamné à me
rembourser 4,000 fr ., serait de 15,000 fr.
Celle qu’il est seulement tenu de rapporter, puisqu’il ne peut échapper
à ma réclamation des 4,000 fr. et qu’il ne le prétend même pas , n’est
que de 11,000 fr.
Dans aucun cas, Marie ne doit I 3,000 fr. ;
Dans aucun cas, il ne me doit les trois-quarts, puisque je ne suis cessionnaire que d’ un quart. Dans l’hypothèse la plus large, c'est-à-dire, si,
comme je l’espère, je gagne mon procès devant la Cour, il me sera dû
2,750 fr. pour le quart de 11,000 fr. ; si je le perds, il me sera dû encore
2.000 fr. pour le quart de 8 ,0 0 0 , mais jamais 9,777 fr. 77 c.
Je n ai pas sous les yeux cette inscriplion, je ne sais qui l’a rédigée,
mais il est évident qUC Jc quelque façon qu'on l'interprète, elle renferme
une grosse erreur, je dirai même une grosse
e x a g é r a tio n
; mais ce n’est
pas parce que j'ai réclamé plUS) que l'0I1 prouvera que j’ai reconnu qu’il
me revenait moins ; j’aurais dû parler ou de 8,000 fr ., ou de 11,000 f r . ,
et j'ai parlé de 1 3,000 fr.
Quant au deuxième argument, je n'ai pas l'intention d'en diminuer la
�portée, il m’est difficile même de faire à tout cela des réponses positives,
absolues.
Lors de la quittance du 6 septembre 1838, je le reconnais, tous les
termes de la dot d'Augustine Chauchat n’étaient pas échus.
Noël-Henri Chauchat, qui liquidait sa position, a-t-il voulu se libérer
totalement, même par anticipation vis-à-vis son gendre qui le poursuivait
si rigoureusement? Cela n’est pas improbable, et les mariés Chauchat don
neront, sans doute, à la Cour, sur ce point, des explications plus péremptoires.
En définitive, Noël-Henri Chauchat restait débiteur de quelques frais;
Marie restait créancier, par conséquent, dans ces termes restreints.
Cela peut expliquer les mentions de procédure dont Me G h e ll e t argu
mente avec tant de complaisance.
Toujours est-il que, si elles constituent des vraisemblances venant ai
der au système suivant lequel Marie restait encore créancier de 3,000 fr.
de son beau-père; après la quitance du 6 septembre 1838 ; il faut recon
naître aussi, si l’on veut être juste et impartial, que les reconnaissances
bien plus formelles émanées directement de Marie, et qui résultent de
toutes les circonstances que nous venons d’analyser plus haut, aident bien
plus puissamment encore au système suivant lequel Marie, en 183" et
1838, lors de ses inscriptions, n’était créancier que d’un capital de
4,000 fr. qui lui aurait été payé depuis par la quittance attaquée ;
Il faut même tenir compte de cette circonstance que Noël-Henri Chau
chat n’est pas là pour nous expliquer ce qu’il peut y avoir d’extraordinaire
dans les faits contradictoires invoqués par M e G iie l l e t , à l’appui de sa
thèse ;
Tandis que Marie, qui est plein de vie, ne peut cependant nous donner
des explications plausibles sur les faits que nous lui imputons et qui ten
dent à constater que personnellement il a reconnu, avant la quittance du
G septembre 1838, qu’il ne lui était dû que 4,000 fr., et par suite qu’il
en avait reçu 11,000.
Entre ces inconséquences, ces contradictions, MM. les Magistrats de la
Cour auront à discerner où siège l’erreur, où se trouve la vérité ;
�»
—
16 —
Mais ils ne déclareront certainement pas sans preuve, et sur la simple
affirmation de Me Grellet, qu’il y a eu abus commis en remplissant le
blanc-seing du 6 septembre 1838 ;
Ils ne le déclareront pas en présence de l’ordre de 1 84 6 ;
Des deux jugemens rendus dans mon instance personnelle contre Marie
et basés sur la quittance du 6 septembre 1838.
En outre, les deux jugemens attaqués rendus par défaut mais après de
nombreuses remises, alors que Marie était représenté par des conseils, ont
une certaine valeur juridique qu’il est impossible de méconnaître complète
ment quoique ces jugemens soient frappés d’appel......
Je crois en avoir assez dit pour ma justification ; je crois avoir prouvé
suffisamment que, dans cette affaire, rien ne saurait incriminer ma con
duite; rien ne saurait donc excuser Me Grellet, de s’être rendu si témé
rairement l’écho où l’artisan d’une diffamation dont j’ai le droit d’être
blessé, et à propos de laquelle, si elle n’est pas publiquement rétractée,
je demanderai hautement à son auteur les satisfactions que mon honneur
exige et que la justice ne me refusera certainement pas.
Maintenant je dédaignerai de répondre à ces attaques dont Me Grellet a
parsemé son Mémoire et dans lesquelles il semble avoir eu en vue d’humilier mon amour-propre.
Il est vrai que je n’ai pas eu le bonheur, comme M* G rellet , d’être
riche en naissant; mais ma famille, dont le berceau est non loin d e la
sienne, ne lui a jamais rien cédé. Au point de vue des sentimens et de
l’ honneur, mon père avait conquis par son travail une modeste aisance.
Ce n’est pas seulement en me laissant une part de son modique héritage
qu’il m’a permis de me donner de l’éducation , puis ensuite une profession
que j’ai exercée avec honneur et probité, mais c ’est surtout sous l’influence
de son exemple que j’ai compris de bonne heure qu’avec un travail hono
rable et opiniâtre on pouvait arriver aussi à une fortune bien acquise.
Au Puy, le 30 mai 1850.
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Ancien avoué.
Au Puy, Imprimerie de GUILHAUME.
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Dublin Core
The Dublin Core metadata element set is common to all Omeka records, including items, files, and collections. For more information see, http://dublincore.org/documents/dces/.
Title
A name given to the resource
Factums Godemel
Relation
A related resource
/files/factum-remarquables/BCU_Factums_G0301_0007.jpg
Description
An account of the resource
<a href="/exhibits/show/factums/thesaurus">En savoir plus sur les factums</a>
Text
A resource consisting primarily of words for reading. Examples include books, letters, dissertations, poems, newspapers, articles, archives of mailing lists. Note that facsimiles or images of texts are still of the genre Text.
Dublin Core
The Dublin Core metadata element set is common to all Omeka records, including items, files, and collections. For more information see, http://dublincore.org/documents/dces/.
Title
A name given to the resource
[Factum. Garde, Joseph-André-Clément. 1850?]
Creator
An entity primarily responsible for making the resource
J. Garde
Subject
The topic of the resource
successions
blanc-seing
saisie immobilière
experts
avancement d'hoirie
élections
opinion publique
quittances
créances
diffamation
avoués
fraudes
Description
An account of the resource
Titre complet : Mémoire pour monsieur Joseph-André-Clément Garde, ancien avoué au Puy, intimé, contre Jacques Marie, de Chambarel, commune de Céaux-d'Allègre, appelant, en présence de Barthélémy Chauchat et Joséphine Chaussat, mariés, et monsieur Henri Surrel, leur cessionnaire, aussi intimé.
suivi de : Mémoire présenté par le sieur Garde, ancien avoué au Puy (manuscrit). Suivi de arrêt 10 août 1850.
Publisher
An entity responsible for making the resource available
Imprimerie de Guilhaume (Le Puy-en-Velay)
Date
A point or period of time associated with an event in the lifecycle of the resource
Circa 1850
1827-1848
1814-1830 : Restauration
1830-1848 : Monarchie de Juillet
Type
The nature or genre of the resource
text
Format
The file format, physical medium, or dimensions of the resource
application/pdf
16 p.
Identifier
An unambiguous reference to the resource within a given context
BCU_Factums_G3022
Source
A related resource from which the described resource is derived
Bibliothèque Université Clermont Auvergne
Cour d'Appel de Riom, Collection Godemel
Language
A language of the resource
fre
Relation
A related resource
BCU_Factums_G3021
vignette : https://bibliotheque-virtuelle.bu.uca.fr/files/thumbnails/6/53639/BCU_Factums_G3022.jpg
Coverage
The spatial or temporal topic of the resource, the spatial applicability of the resource, or the jurisdiction under which the resource is relevant
Le Puy-en-Velay (43157)
Alleyras (43005)
Saint-Jean-Lachalm (43198)
Chambarel (terre de)
Céaux-d'Allègre (43043)
Rights
Information about rights held in and over the resource
Domaine public
avancement d'hoirie
avoués
blanc-seing
Créances
diffamation
élections
experts
fraudes
opinion publique
quittances
saisie immobilière
Successions